Saison 0 — Les Noces d'Haniya Part. 2 (G1)

Une fois les célébrations terminées, l’ensemble des participants fut très rapidement rapatrié et séparé des autres. Se fondant dans la masse, Kamisaka se fit aussi discret que possible, continuant d’épier du mieux qu’il le pouvait chaque personne qu’il ne connaissait pas. En dehors des Konohajins, chaque personne présente ici était désormais considérée comme un adversaire à abattre. Lui qui faisait tout cela par pur patriotisme avait décidé d’abréger ces festivités le plus rapidement possible. Il n’était pas un cheval sur lequel on pariait et encore moins un bouffon venu divertir les personnalités influentes de l’Onogoro.

Suivant les autorités compétentes jusqu’au lieu où allait se dérouler la première épreuve, Kamisaka ne put s’empêcher de sourire en voyant la forêt qui s’étendait devant lui. Ce genre d’environnements était totalement familiers aux Konohajins et cela ne rend les choses que d’autant plus simples. Écoutant les paroles de la responsable de l’épreuve sans véritablement lui prêter une grande attention, le Hyuga comprit toutefois que la victoire de Konoha ne dépendait pas uniquement de lui. Cela ne l'empêchera pas de faire son maximum pour que le village de la feuille soit le plus craint et redouté de tous.

Les choses commencèrent réellement lorsqu’ils furent répartis en différents groupes. Souhaitant une bonne chance aux différents participants de Konohagakure, Kamisaka se retrouvait finalement avec Inuzuka Hakari, un shinobi qu’il connaissait très bien puisqu’il faisait partie de son équipe. Il leur avait été demandé d’attendre car leurs adversaires avaient besoin de préparation.

— Bon bah on va faire comme d’habitude. Les missions qu’il avait pu faire en compagnie du maître chien avaient pour la plupart du temps été… expéditives. Et puis dis toi que si on performe, tu trouveras sûrement un seigneur qui voudra bien sponsoriser tes trucs là. C’est quoi le nom de ta marque déjà ?

Une fois qu’ils furent appelés, le Hyuga se mit en route. Sur le chemin, les règles de se l’épreuve leur furent expliquées : leurs adversaires devaient protéger un coffre contenant un parchemin. Le rôle du binôme de Konoha était simple, trouver et récupérer le rouleau puis revenir jusqu’à cette clairière avant la fin du temps imparti. Rien de bien compliqué en soit, la seule inconnue dans cette situation était la puissance potentielle des adversaires qui allait déterminer la véritable difficulté de cette épreuve.

— Nos noms de familles sont bien trop réputées, contrairement aux leurs. Kamisaka faisait ce constat, il ne connaissait aucun clan assez influent ou historique se rapprochant de ceux de ses adversaires du jour. Partons du principe qu’ils connaissent déjà nos capacités. S’il en est ainsi…



Il était impossible pour un membre de la branche principale de ne pas maîtriser le symbole de la puissance du clan Hyuga. Il était tout aussi impossible de ne pas utiliser ce fameux dojutsu dans une compétition où il était censé mettre en valeur la puissance de son village et de son clan. Passant l'entièreté de son environnement au crible, Kamisaka avait désormais une vision sur l’ensemble de la zone : de la clairière où ils avaient débuté l’épreuve à la petite tour, rien ne lui échappait. Repérer l’emplacement du coffre, celui de ses adversaires et même le positionnement d’éventuels piège fut un jeu d’enfant pour le Hyuga.

— Je vais te dire ce que je vois, mémorise bien je ne me répéterai pas. Les pas du Hyuga accélèrent alors qu’il se dirigea progressivement vers la tour où se trouvaient ses deux adversaires. S’ils pensent pouvoir bénéficier de l’effet de surprise…

Si le révolutionnaire était drôlement docile, il faisait cela dans un unique but de prévention. Cette ère de paix qu’il attendait plus que tout, il comptait la façonner de ses mains si personne n’en était capable. Le sang et la violence étaient apparemment les seuls et uniques moyens de faire passer un message : alors c’est ainsi qu’il se fera comprendre. Alors qu’ils se rapprochaient pas à pas du bâtiment Kamisaka ne pouvait s’empêcher de sourire inutilement, il n’aurait jamais pensé représenter son village et son clan de cette manière.


— Tu es prêt Hakari ? Dit-il en mettant un petit coup d’épaule à son camarade Inuzuka, avant de se tourner vers le Bâtiment dont ils étaient extrêmement proche. Allons-y.

Alors que la porte implosa sous la pression d’une force étrangère, la salle se recouvra en même temps d’un épais brouillard violacé. Kamisaka avait pris soin de balancer à travers l’une des fenêtres une bombe fumigène pour totalement nullifier l’un des cinq sens de ses adversaires. Au milieu de ce bain de fumée, Kamisaka lui, voyait comme en plein jour. Ses iris pâles lui permettaient de distinguer avec précision la signature chakratique de ses adversaires.

D’un pas vif, Kamisaka s’infiltra dans le bâtiment avant de s’éloigner de la porte en se désaxant vers sa diagonale gauche pour se retrouver sur ce même flanc en évitant tout simplement d’attaquer son adversaire de face. Sans dire un mot, le Hyuga écarta ses jambes l’une de l’autre, alors que son bras droit se plaçait parallèlement à cette même jambe, son bras restant prolongeait le premier en remontant toutefois vers le ciel. Bien que personne ne pouvait le voir à cause de la visibilité réduite imposée par les Konohajins, Kamisaka venait de prendre une position phare du clan Hyuga. Le silence précédait toujours l’orage, et l’orage l’incendie. C’est avec une fluidité et une grâce impressionnante que le corps de Kamisaka se mit en marche, que son centre de gravité se releva et que chacun de ses doigts se dirigèrent vers les différents tenketsus de son adversaire. 8 coups. Kamisaka continuait de se mouvoir comme un pantin désarticulé, pressant à chaque fois un peu plus fort sur ces verrous de chakras. 16 coups. Ses doigts semblaient comme aimantés par le corps de son adversaire. 32 coups. Alors qu’il finalisait son enchaînement par une violente frappe dans le plexus solaire de son adversaire.


Sans dire un mot le Hyuga ramena ses bras près de lui, et observa ce qu’il se passait dans l’enceinte de la pièce à l’aide de sa vision. N’y vois rien de personnel. Il n’y avait rien de personnel, ce n’était rien de plus qu’un jeu. N’est-ce pas ?

Récapitulatif:

Perché tel un solitaire épicurien sur une souche d'arbre desséchée, une brochette de yakitoris à la main, Hakari prête une oreille nonchalante aux directives distillées par les échos du clan. Quand son nom est prononcé, c'est en tandem avec celui de Kamisaka, résonnant comme une mélodie d'une farce orchestrée par le destin. Un sourire éphémère flotte sur ses lèvres, oscillant entre la taquinerie et l'exaspération, un témoignage muet de leurs frasques juvéniles. Ainsi soit-il. murmure-t-il avant de s'adonner à une danse de dévoration, engloutissant d'un trait chaque morceau de viande embroché.




Plus tard, il écoute les mots du pupilles pâles. Un soupir préalable annonce sa réponse teintée de dédain. Bah justement, c'est un problème. articule-t-il, une pause subtile précédant le frémissement de ses doigts dans sa chevelure, non pas en raison d'infâmes parasites, mais comme une exclamation muette face à la routine immuable. On finit toujours par s'ennuyer, c'est trop répétitif. peste t-il. Un nom pour son projet d'élégance pieds ? "Laisse tomber, j'ai rien du tout mec. Je vais y réfléchir, c'est pas une mauvaise idée..."

Mais au-delà de l'apparence, Kamisaka a raison : l'ordre est de faire rayonner les talents du Pays du Feu. Ainsi, après que les veines ont surgi tel un sillon tellurique sur le visage du duo, les ongles et les canines d'Hakari poussent. Rien de surprenant ici. Cependant, la suite peut dérouter : des marques émergent sur tout son être, un fuinjutsu manifeste.






Il vient effleurer son épaule où la blancheur des cheveux a laissé son empreinte, comme pour la purifier d'une saleté indésirable. Sous l'influence des arcanes claniques, la psyché d'Hakari devient moralement discutable, son comportement pivotant du tout au tout. Le ton de sa voix emprunte les variances de violence aussi bien calmes que nobles, celles de la maîtrise et de l'abandon de soi, du calme mélangé à la tempête.

Le résultat évident d'une nature profonde entièrement déphasée avec ses racines : le shinobi de la feuille n'est pas un chien de son clan. Bien moins obéissant et plus compliqué à appréhender, il ressemble bien plus à un loup. Incapable de contenir ses pulsions, ses géniteurs ont lié sa maîtrise clanique à un sceau régulant son humeur. Rien de parfait, quelque chose de suffisant pour faire la distinction entre le bien et le mal, ses alliés et ses ennemis, ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire. En théorie.








La porte cède sous sa brutalité, et lorsque la fumée déploie son ballet, le maître-chien s'engage à son tour dans la première pièce. S'il est privé de sa vision, son odorat, lui, ne le trompe pas : ils sont déjà quatre dans la pièce, une présence canine non négligeable incluse. Le malheureux en proie à Kamisaka suscite peu d'intérêt chez Hakari. Seule une note subtile et délicate attire son attention : une fragrance familière. En des circonstances ordinaires, elle n'aurait suscité que méfiance, mais ses sens sont désormais des instruments affinés, son corps une création divine vouée à la traque de l'homme et de la femme. Peut-être ne m'ennuierai-je pas finalement ! s'écrie-t-il avant de traverser la pièce d'une seule enjambée, un filet de bave s'échappant lors de sa course.




L'une de ses fumigènes embaume l'entrée du niveau suivant depuis les escaliers, ses crocs et griffes frappant frénétiquement dans un ballet frénétique pour éradiquer tout obstacle sur son chemin. La seconde d'après, ses pieds se posent non pas sur le sol, mais sur le plafond de la pièce. Un sourire carnassier orne son visage, l'excitation s'évaporant pour laisser place à la jubilation. La chasse, un banquet, une fragrance, mais également un goût familier. Un jour funeste pour l'un, un simple jeudi pour l'autre. Des souvenirs émergent, ignorant presque la présence masculine non loin de là.




Ces pupilles, ces cheveux, ce teint de peau et cette saveur sucrée... lance-t-il, dénué de toute réserve. Les mains dans les poches, toisant le danger qui le guette, il poursuit son discours. Finalement, ce mariage ridicule s'annonce plus divertissant que prévu !

Alors qu'il déclame son boniment, une patte lourde fait son entrée au premier étage. Un grognement retentit, suivi d'un hurlement canin puissant, résonnant à travers tout le bâtiment : Akumu vient d'entrer en scène. Le loup aux dimensions démesurées et au regard écarlate se dévoile progressivement, émergeant de la fumée, fixant l'homme du Pays de l'Eau. Les crocs sont exposés de manière ostentatoire, une menace palpable.

Le regard pernicieux de l'Inuzuka se tourne légèrement vers l'épéiste à la lame imposante, le ton oscillant de la teinte sadique à celle de l'agacement. Eh, l'ahuri ! tranche-t-il en le dominant depuis son piédestal. Et si tu allais réparer la porte, t'es de trop ici. C'est qu'on pourrait le prendre pour un charpentier, avec son apparence peu commune.




Hakari, sérieux, reste sur ses gardes, plongeant dans son odorat pour être prêt à toute tentative de la part de ses adversaires.

Récapitulatif:

Hakari — Details des dépenses:

Akumu — Details des dépenses:

Hakari — CS1:

Hakari — Techniques utilisées:

Akumu — Techniques utilisées:

Hakari — Objets utilisés:

Hakari — Statistiques:

Akumu — Statistiques:

Appuyant dans la chair de son adversaire, Kamisaka ne se rendit compte que trop tard qu’il avait perdu son pari et que son adversaire n’était qu’un clone. Lorsque sa vraie nature fut révélée et que le double se chargea en électricité, le Hyuga était déjà beaucoup trop près pour pouvoir faire quoi que ce soit. La foudre traversa sa chair et choqua son esprit, grinçant des dents mais forca son esprit a se re concentrer sur ce qu’il se passait actuellement.

Cherchant à se remettre de la douleur, il ne remarqua que quelques secondes trop tard qu’un individu s’était glissé derrière lui et comprit que la partie était terminée pour lui lorsqu’il vu le kunai de son adversaire de glisser sous sa gorge.

— Bien joué. Il n’avait rien pu faire, pris par l’euphorie de l’épreuve il avait agi à la va vite et il en payait maintenant les frais. C’est une très belle stratégie que vous avez mis en place. Il était forcé de constater que cet homme n’était pas qu’un tas de muscle, et que le plan concocté par Kiri était véritablement bien ficelé. Pourtant, malgré sa position, Kamisaka ne pouvait pas s’empêcher de sourire.

Immobile, il se concentra sur son esprit, son âme. Sur le chakra qui parcourait l’ensemble de son corps. Sur chaque tenketsus de son corps dont il avait en réalité le contrôle grâce à sa maîtrise du Juken. Et lorsque qu’il les avait tous repérer, Kamisaka ouvrir brutalement l’ensemble de ses points de chakra pour relâcher une puissante vague de chakra sur tout ce qui se trouvait autour de lui.


— On est pas encore assez intime pour que je te laisse rester aussi proche de moi. Kamisaka n’avait jamais été vraiment intéressé par les clones, malheureusement.

Calmant le flux de déplacement de ses tenketsus, il résorba le chakra qu’il expulsait pour venir le diriger de vers la plante de ses pieds. Un deplacement rapide qui lui permit de rapidement atteindre le premier étage et de pouvoir lui aussi participer aux véritables festivités. Pourquoi devrait-il être la seule personne à être écartée ? Si la visibilité avait été réduite à cause des différents fumigènes,ses yeux lui permettaient toujours d’y voir aussi clair malgré la fumée.

Une fois arrivé, il se posa directement dans la cage d’escalier menant au second étage. Bloquant l’accès aux étages supérieurs. Cette position quelque peu ascendante lui offrait un meilleur panorama malgré la fumée en plus de considérablement réduire les options des Kirijins.



— Et retenir qui au juste ? Kamisaka ne put s’empêcher de s’esclaffer en entendant ces mots. Je crois que tu te méprends sur quelque chose. Son regard se posa sur le corps de son ami Inuzuka. Personne ne sortira d’ici sans notre autorisation.

Il espérait que malgré le fait qu’Hakari soit pris dans sa folie meurtrière, il avait assez de lucidité pour se souvenir de leur petite discussion. Ils s’étaient mis d’accord pour se partager les proies et maintenant qu’ils s’étaient mis d’accord sur qui prendre en chasse, il n’était pas question pour lui de le laisser son combat avec cet homme.

— De toute façon, après m’avoir fait languir avec tout ces clones, tu me dois bien une petite danse… les mariés nous regardent.

Désactivant son dojutsu, le Hyuga profitait de ce cours temps de répit pour malaxer son chakra le plus rapidement possible et recharger ses réserves de chakra pour pouvoir se préparer à ce combat qui s’annonçait.

— Ne perdons pas plus de temps…




Reprenant sa garde, le Hyuga ne bougea pas de sa position et se contentait d’épier le moindre mouvement dans les volutes de fumée. Le jeu ne faisait que commencer, il fallait faire de ce jour une journée mémorable pour la mariée et Kamisaka promettait que tout le monde se souviendrait de ce qu’il se passera ici dans quelques instants.

Résumé :

Kamisaka — Détails des dépenses:

Kamisaka — Techniques utilisées:

Kamisaka — Statistiques:

Les propos de l'épéiste suivent la trajectoire de la proie, tant passée que future. Le kunai, une étoile filante mortelle, se plante au cœur du clone perché, qui s'évapore dans une déflagration assombrissant le plafond de la pièce. Les pas résonnent dans l'escalier tandis que la fumée se dissipe. Hakari émerge, se tenant finalement aux côtés de son chien ninja. Tu ne sembles guère enclin à la réjouissance, n'est-ce pas ? Sa main se lève au niveau de son front, comme pour scruter l'horizon.




Kamisaka rejoint promptement le duo canin, lançant immédiatement les hostilités avec le Kirijin. Observant du coin de l'œil son acolyte accumuler ses forces, il partage un détail intrigant. Il a discerné la création d'un clone sans m'observer le faire. Le Hyuga tirera ses propres conclusions. Et toi... Lance-t-il à leur adversaire. ... prie pour ne pas croiser à nouveau ma route.

Comme pour conclure ces paroles, Akumu aboie à nouveau, cette fois sa voix imprégnée de chakra pour déstabiliser le malheureux.

Le shinobi bestial se retourne, empruntant promptement les escaliers voisins. Une charge puissante le propulse à l'étage supérieur. Au loin, la silhouette de la jeune femme en proie à la panique se dessine. Sa voix porte au-delà de la distance qui les sépare, exprimant clairement ce que le prédateur a à dire. Les retrouvailles ne devraient point se dérouler de cette façon. Permets-moi de t'inculquer les bonnes manières. Une nouvelle fois.






Visiblement, ton fils compte encore nous créer des problèmes. affirme un quadragénaire du clan des chiens. Le clan, moins prestigieux que les Hyuga ou les Senju, se traduit dans des tribunes moins soignées. L'homme qui a élevé le berserker esquisse un rire brusque avant de répliquer. Il faut bien laisser les jeunes s’amuser, non ? Je te rappelle qu’on était des sacrés loubards à son âge !

La réponse ne trouve pas grâce, un autre doyen riposte aggressivement, destinant ses paroles à la mère. Nous avons rejoint Konoha il y a deux ans seulement. C’est une victoire qu’on veut. Pas un spectacle. Tu ferais mieux d’éduquer ton gamin, Inuko.

La femme plantureuse, à l'orée de la trentaine, tire vigoureusement sur sa cigarette avant de rétorquer de manière nonchalante au vieillard. Vous m’emmerdez à tout le temps diffamer mon petit. D’ailleurs, vous devriez le savoir avec le temps…




Le mur le plus proche encaisse un coup violent, un troisième homme s’agite à son tour. Savoir quoi ? que l’état de notre réputation est incertaine à cause de ton bâtard ?!


Au cinquième étage, le coffre contenant le parchemin vol soudainement en éclats. Dans la seconde qui suit, l'un des quatre murs donnant vers l'extérieur cède à son tour : Hakari - ou plutôt Yume métamorphosée - pénètre là où l'objet de leur quête attend depuis le début. Devant cette démonstration stratégique, la mère de Hakari réplique aux membres influents du clan, lorsque Yume subtilise le parchemin, provoquant la surprise générale.



De retour au deuxième étage, le maître-chien forme un unique mudra. Le tumulte causé plus haut évoque la victoire imminente pour le groupe du Pays du Feu, lui arrachant un air encore plus satisfait. Par chez moi, une chienne impolie se doit d'être corrigée. Une réplique parfaite de lui-même surgit soudainement. Débutons ton dressage. Tranche t-il, amusé.




Le clone se précipite pour se placer directement devant elle et entame un enchaînement au corps à corps, concentrant ses efforts principalement sur ses jambes. Le message est limpide : Hakari entend bien s'amuser en torturant une nouvelle fois celle dont il a oublié le nom.

Récapitulatif:

Hakari — Details des dépenses:

Hakari (clone) — Details des dépenses:

Akumu — Details des dépenses:

Yume — Details des dépenses:

Hakari — CS1:

Hakari — Techniques utilisées:

Akumu — Techniques utilisées:

Yume — Techniques utilisées:

Hakari — Objets utilisés:

Hakari — Statistiques:

Akumu — Statistiques:

Yume (métamorphosée) — Statistiques:

— Ton fils est bien trop dissipé, voilà deux fois qu’il se fait avoir par le même piège. La tension qui régnait en maître dans la loge du clan Hyuga ne pouvait être ignorée et il suffirait probablement d’une seule étincelle pour tout faire exploser. Sait-il qu’il représente le village et notre clan par extension ?

Le clan Hyuga portait une énorme importance à leur réputation au rôle clé qu’il avait au sein du village. S’ils pouvaient fièrement se vanter d’être l’un des piliers du village c’était bien grâce à une force exceptionnelle et un talent indéniable pour la politique. Il était inconcevable pour eux de laisser un électron libre tel que Kamisaka détruire tout ce qu’ils avaient bâti depuis la création du village.


— Laissez le tranquille. Ramenant le calme dans la salle, cette voix qui avait toléré toute les controverses concernant son fils semblait en avoir suffisamment entendu. Je pense que Kamisaka est bien celui qui incarne le mieux les valeurs du clan Hyuga.


— Y a pas de soucis, je gère la situation. Laissant Hakari rejoindre sa proie à l’étage supérieur, le Hyuga maintenait fermement sa garde et était alerte au moindre des mouvements de son adversaire. Le voyant répondre favorablement à son invitation en l’accueillant avec une frappe oblique, Kamisaka ne pouvait pas dissimuler la joie qu’il ressentait actuellement. Brisant sa garde en reculant pour se mettre hors de portée, le pied gauche du Hyuga rata la première marche de l’escalier. Oups.


Kamisaka esquive l’attaque grossièrement en reculant d’un pas mais il se fit quand même trancher par l’épée au juste. Outch…. Un peu honteux après ce qu’il venait de se passer, le jeune garçon se ressaisit rapidement pour pouvoir respecter ses engagements.

Frappant violemment le sol de ses paumes, Kamisaka vient diriger son chakra vers un endroit particulier. Un premier bruit sourd se fit entendre suivi d’un effondrement. Il s’agissait du coffre qui venait d’être ouvert par le Hyuga mais en plus de cela le mur. Cela n’était possible que parce qu’avant d’arriver Kamisaka avait pu observer l’ensemble du bâtiment et la position de chacun des individus à l’aide de son dojutsu.



Du côté des tribunes, on pouvait entendre de nombreux hurlements et encouragements de la partt des jeunes pousses du clan qui regardaient le combat à l’aide de leur Byakugan. Konoha s’était emparé du rouleau des Kirijins ?


— Vous pensez sincèrement que Kamisaka puisse nous décevoir ?

Le sourire des membres du clan Hyuga qui pouvaient regarder ce combat d’une toute autre dimension ne trompait pas : le héraut de Konoha venait de s’imposer. Le flux de chakra qui parcourait le des combattants ne trompait pas, il pouvait révéler une multitude d’informations sur les différents combattant et cela représentait un puit de savoir exceptionnel pour les individus ayant les capacités de s’en rendre compte.


— À charge de revanche, comme on dit.

— Après tout, Kamisaka est… Alors que le Hyuga restait sur ses gardes, il ne se relâcherait qu’une fois cette épreuve terminée et ne comptait pas le laisser profiter d’une quelconque ouverture.



Incompris des siens qu’il avait rejeté pour pouvoir façonner sa propre destinée, Kamisaka s’était juré de ne plus vivre pour nul autre que lui-même. En réalité, ce n’était pas pour Konoha et encore moins pour les siens qu’il faisait tout ça… C’était essentiellement pour lui-même. Il prenait un immense plaisir à participer à cette épreuve et il continuerait de s’y donner corps et âme tant que cette sensation perdurait.

Résumé :

Kamisaka — Détails des dépenses:

Kamisaka — Techniques utilisées:

Kamisaka — Statistiques:

Arrivé au deuxième étage, Hakari ne remarque aucune présence, simplement des bribes d’odeur mais rien de très concluant. En soupirant, il imagine que Yume va bientôt avoir de la visite. Et son passage éclair au sein du troisième et du quatrième étage valident la récente théorie. On pourrait le croire déçu, mais que nenni. Faire durer le plaisir, c’est son péché mignon. En arrivant au sein du cinquième étage, il aperçoit la brume envelopper Yume. En se retenant de rire, le voilà qu’il charge dans la brume afin de rejoindre son chien.




Après tout, elle possède le rouleau tant convoité. Un objet passe donc d'une main à une autre. Une fois dans la brume, ses sens lui confirment la présence d’une autre personne : sans doute sa proie.


Au premier étage, l’affrontement bat son plein entre Kamisaka et l’épéiste. Un coup d’épée sec inflige de sérieux dégâts au Hyuga. Akumu, un peu rassuré sur le fait que son compagnon a été la seule cible, en profite pour aboyer une nouvelle fois. Plus puissamment cette fois. Il sait pertinemment qu’il ne viendra pas à bout du guerrier de la brume mais le sang du konohajin est bien trop précieux pour être répandu sur le sol. Et plus important encore : il s’agit de l’ami de son maître. Son but ? Faciliter le prochain assaut de son coéquipier avec une intimidation bien placée, pour offrir à Kamisaka un précieux timing pour agir.


De retour au cinquième étage, Hakari et son adversaire ont sans doute conscience de la présence de chacun. Alors qu’il passe près de son compagnon canin, il s’exclame à plein poumons Fuis, Yume ! Sur ces mots, le chien recule alors de quelques pas. Dans le même temps, Hakari tournoie puissamment en direction de Hariken, désormais à portée d’atteinte. Griffes et crocs avec pour seule cible la gorge de sa cible.




Le pinacle de la chasse atteint son paroxysme, les sens de l’Inuzuka sont en ébullition. Tout autour de lui n’a plus d’importance, si ce n’est le goût et la texture de la chair de la femme qui lui fait face. Ou plutôt, qui le fuit depuis le début. Peu après, une percée furtive vise la moine : la chienne n'obéit pas à son maître et préfère rester en attaquant à son tour via un lancer de kunai. Toujours en visant cette gorge qui permettrait de sortir la jeune femme du jeu. Quelque part, c'est mieux pour elle, se dit le ninken.

Une ultime offensive qui marque aussi la fin de sa participation à cette épreuve. Par manque de chakra, la transformation ne tient plus et le chien gardien s'écroule au sol, exténué.

Récapitulatif:

Hakari — Details des dépenses:

Akumu — Details des dépenses:

Yume — Details des dépenses:

Hakari — CS1:

Hakari — Techniques utilisées:

Akumu — Techniques utilisées:

Yume — Techniques utilisées:

Yume — Objets utilisés:

Hakari — Statistiques:

Akumu — Statistiques:

Yume — Statistiques:

— Le premier qui arrive à la clairière gagne, t’es prêt ?

Arrivant encore premier jusqu’au grand arbre, Kamisaka regardait son ami et ses compagnons canins peiner à le rattraper. S’il aurait pu être peiné par la difficulté et le temps qu’avait mis Hakari a le rejoindre, il était bien trop occupé à savourer cette énième victoire qu’il avait au compteur face à l’Inuzuka. Pourtant, il se demandait toujours pourquoi son ami ne se déplaçait pas comme lui, cela rendrait la course beaucoup plus équitable et pousserait le Hyuga à se surpasser pour gagner.

— Hein ?! Mais t’es sérieux Hakari ?? Tu ne sais pas faire le déplacement instantané ? Esclaffa un jeune garçon dans la forêt. Je comprends pourquoi tu n’arrives pas à me battre à la course alors.

Voyant le maître chien déprimé à l’entente de ses mots, Kamisaka réfléchit rapidement à une solution pour ne pas avoir à passer la soirée à essayer de lui remonter le moral. Depuis leur rencontre, Kamisaka et Hakari passaient le plus clair de leur temps ensemble, à jouer et à se conseiller, à rêver, dans un petit coin reculé du pays du feu qu’ils avaient établi comme étant leur havre de paix puisque personne n’y mettait jamais les pieds.

— Et si je te l’apprenais ?!


La mine des deux jeunes garçons s’illuminèrent, l’un pouvait combler son retard et l’autre s’assurait que son ami revienne plus fort.

— J’ai jamais été prof mais je sais comment faire ! Je pourrais observer avec mes yeux si tu mets la quantité parfaite de chakra ! Et puis ça améliorera ton contrôle du chakra, ça pourrait peut-être t’aider avec ton problème ! Allez viens, on commence maintenant.




Kamisaka n’avait strictement aucune idée de pourquoi ce vieux souvenir resurgissait maintenant à cet instant. Peut-être pour penser à autre chose que cette douleur lancinante qu’il ressentait depuis qu’il avait été tranché. Il m’a frappé pour tuer, si j’avais pas eu le réflexe de reculer je ne serais probablement plus de ce monde. Un geste que Kamisaka n’oubliera probablement jamais, dans ce tournoi censé être amical il avait dû mettre sa vie en jeu. Pourtant, la mission était le plus important et il n’avait pas le temps de penser à de telles futilités.

Il arrivait, il fonçait vers lui à une vitesse phénoménale et Kamisaka reconnut immédiatement l’utilisation de la technique de déplacement instantanée. Après son coup d’épée, il avait put entendre le mur derrière lui s’écrouler et l’utilisation de cette technique dans une telle configuration ne laissait pas de place au doute : Il voulait s’enfuir. Le faisait-il pour rejoindre sa camarade ? Avait-il autre chose en tête ? Quoi qu’il puisse vouloir faire, Kamisaka l’en empêcherait.

— Mais vous êtes aveugles à Kiri ? C’est moi ton adversaire !

Akumu lui avait montré comment faire, il savait comment le déstabiliser en jouant sur ses points faible et n'hésiterai pas à le faire. C’est naturellement que le Hyuga vint ensuite concentrer du chakra dans la plantes de de ses pieds, avant de lui aussi s’éjecter en dehors de cette tour. En sortant, il comprit directement ce qu’il venait de se passer plus haut et ce qu’il lui restait à faire. Recalibrant son corps pour adopter une position de réception, il ne peut s’empêcher de sourire en pensant au choix osé que venait de faire son partenaire.


— Le premier de nous deux qui arrive à la clairière gagne, j’ai bien compris haha.

Sa main se tendit et saisissa rapidement le rouleau avant qu’il n'atterisse quelques mètres plus loin. À l’instant même où son pied se posa au sol, les personnes les moins attentifs perdirent Kamisaka de vue : il venait d’utiliser une seconde fois la technique de déplacement rapide. Au vu de sa blessure, il se devait de conclure l’épreuve le plus rapidement possible où il ne serait probablement plus en possibilité de combattre et laisserait son ami dans une position de combat très inconfortable.

Son premier déplacement rapide l’emmena à mi-chemin de la clairière, le forçant alors à réitérer cette même consommation de chakra, mouvement et techniques pour pouvoir véritablement mettre fin à cette épreuve.

— Pas très sympathiques ces kirijins.

Cette fois-ci, c’est bel et bien au centre de la clairière qu’il atterrit.


— Tu ne m’auras jamais battu finalement, sac à puces.

Haletant, ensanglanté et avec des réserves bien entamé, mais bel et bien en possession du parchemin. Il n’avait pas besoin d’activer son dojutsu pour pouvoir voir hurler de joie ses compatriotes de Konoha.




S’inclinant respectueusement, Kamisaka jeta le rouleau au sol avant de relever la tête, la victoire avait bon goût, surtout quand elle était accompagnée de l’amertume kirijine.

Résumé :

Kamisaka — Détails des dépenses:

Kamisaka — Techniques utilisées:

Kamisaka — Statistiques:

Un corps est lourdement suspendu dans les airs, via de vigoureuses chaines de chakra. Incapable d’utiliser la moindre technique ou bien de se débattre, il est aisé de constater que sa vie touchera à son terme bientôt. Son sang coule jusqu’au sol, situé une vingtaine de mètres plus bas. Chaque goutte sonne comme un décompte. Le regard vide, l’Inuzuka attend patiemment la sentence.




Tu comprends bien qu’on ne peut pas se permettre de t’avoir dans nos pattes plus longtemps. un imprévu dans une mission d’assassinat Tu es juste beaucoup trop fort. alors les grands moyens ont été employés. Tout autour du repaire du bourreau, ce n’est pas moins d’une dizaine de ses acolytes morts qui sont présents tandis que deux shinobis de konoha ont déjà rendu l’âme sur leurs propres chaines. Tout devrait être beaucoup plus simple désormais… lance l’homme en effectuant un mudra.

Un sourire insolent apparait sur le visage de Hakari, il relève le regard pour faire face à son ennemi. Alors tu n’es pas au courant ? un deuxième mudra est réalisé Tu ne connais pas l’identité du dernier membre de cette équipe ? le ravisseur clôture sa première série de mudras et lève un sourcil, légèrement curieux De qui tu parles ? questionne t-il, impatient.

La chevelure de jais ne se contente que de quelques mots sans la moindre équivoque Ca te dit quelque chose, le shinobi sans faiblesse ? peu après, alors que les yeux du bourreau s’ouvrent en grand, des frappes de chakra venues de nulle part réduisent en morceau les chaines, libérant ainsi le maître-chien. Au loin, une silhouette apparait, facilement reconnaissable.




D’aussi loin qu’il se souvienne, Hakari a toujours été le fardeau de quelqu’un. Celui du Hyuga, obligé de le surveiller. Celui de son clan, attendant la première occasion pour l’occire. Celui de Mizuka, déterminée à chérir la dernière preuve qu’un bonheur était possible pour sa défunte sœur. Encore et toujours, la même rengaine.

Et pourtant…

Ce parchemin a été balancé dehors sans la moindre hésitation, sans le moindre doute. Evidemment, qui peut se permettre de douter de Kamisaka ? Cette phrase en elle-même est peut-être problématique. Les puissants n’ont jamais le droit à l’erreur, voilà le véritable poids de leur force. Les écrasant socialement, victimes d’une pression sociale intenable.

L’heure n’est, pour le coup, pas à la philosophie ou encore la plainte. L’odeur du sang éveille les sens d’un Inuzuka encore enjoué à l’idée de le faire couler abondamment. Alors qu’il entend le kunai grossièrement retomber au sol, il concentre une quantité phénoménale de chakra dans l’entièreté de son corps. Le sol se craquèle, de légers résidus sont dégagés via le mur explosé.

La moine arme sa frappe.
Le maître-chien attend le timing parfait.
Les coups s'échangent.

Dans son mouvement de rotation, Hakari parvient à s’épargner un choc trop violent au buste pour le recevoir sur l’un de ses bras. L’impact dégage une partie de la brume tandis que le chasseur se dit qu’il s’agit d’un sacrifice acceptable. Les griffes de son autre bras se concentrent sur la blessure infligée par le kunai. Pourquoi cela ? Tout simplement car il y a bien plus à manger dans un membre qu’un œil. Après lui avoir ruiné sa vision, il espère bien lui arracher un bras. Avec respect, évidemment.



De son côté, Akumu observe la charge tourmentée du kirijin, sur ses gardes. Puis, en voyant Kamisaka charger à son tour, il aboie une ultime fois sur l’épéiste. Pour le déstabiliser, certes. Mais surtout pour permettre au Hyuga de mener à bien son plan.

Récapitulatif:

Hakari — Details des dépenses:

Akumu — Details des dépenses:

Hakari — CS1:

Hakari — Techniques utilisées:

Akumu — Techniques utilisées:

Hakari — Statistiques:

Akumu — Statistiques:

La scène qui se déroulait actuellement sous les yeux du public était incompréhensible, Kamisaka se tenait simplement retourné, le regard du jeune garçon pourrait même laisser croire qu’il s’était résigné à laisser la victoire à ses adversaires.

Un sourire, c’était ce que les plus pointus observateurs avaient pu remarquer en observant Kamisaka. Ceux qui avaient un sens plus aigu de l’analyse avaient pu voir parmi les quelques bribes de vent, des veines partant de ses extrémités oculaires, jusqu’à ses yeux. Ses iris naturellement bleus, étaient maintenant d’une pâleur affolante.



Kamisaka avait en réalité réactivé son dojutsu depuis un long moment, dès que son opposant avait pris la fuite en réalité. Il voulait le tenir à l’œil et le meilleur moyen d’y parvenir était de recourir à cette vision supérieure. Le rouleau, l’épéiste, Hakari, la jeune femme, rien ne pouvait échapper au regard impérial de l’héritier. Il n’avait pas beaucoup de temps pour agir et n’avait à son sens qu’une seule occasion pour agir. Frapper vite, fort, et en finir une bonne fois pour toute.

Concentrant son chakra dans ses pieds, l’énergie accumulée permit au Hyuga de s’élancer vers les airs à la même vitesse que sa cible, si le retard qu’il avait ne lui permettrait pas d’attraper le parchemin tant convoité et il le savait pertinemment. Ce n’était pas ce qu’il désirait. Rejoignant son l’épéiste à la suite de son déplacement, Kamisaka avait pris soin de se placer dans son dos qui lui était gracieusement offert. Il ne laisserait pas passer cette occasion, ce n’était pas digne d’un shinobi.


La technique de l’ombre de la feuille morte était une technique signature du taijutsu de konoha, il était évident qu’elle se trouvait dans l’arsenal d’un spécialiste du corps à corps comme Kamisaka. En voyant le flux de chakra de l’épéiste se concentrer dans ses jambes, il fut aisé pour le Hyuga déduire les intentions de sa cible, il fut encore plus aisé pour lui de concentrer également du chakra vers ses propres membres inférieurs. Probablement encore sous l’effet du Genjutsu qu’il lui avait lancé précédemment, il ne savait pas comment il avait pu situer le rouleau mais cela se retournerait contre lui : il avait détourné son attention du Hyuga et il en paierait les frais. A l’instant où son adversaire conclut son déplacement, Kamisaka qui avait pu suivre son déplacement grâce à son dojutsu et le suivi immédiatement en effectuant un déplacement rapide pour le rejoindre, arrivant dans son dos pour pouvoir le surprendre.

Son corps se mit alors instinctivement en marche, élançant ses mains, combattant la douleur, la fatigue et l’épuisement, Kamisaka commença à presser les uns après les autres les différents verrous de chakra de sa cible, la fluidité avec laquelle il effectuait ce geste montrait à quel point il était habitué à le faire. Les 64 poings du hakke, technique signature du clan Hyuga, si la première fois c’était un clone qui en avait subi les frais, le Hyuga prenait un malin plaisir à faire subir cette technique au véritable Kirijin, c’était sa petite revanche.


Sa danse martiale maintenant terminée, Kamisaka désactivait son dojutsu, il voulait économiser ses maigres réserves pour pouvoir se préparer à une potentielle suite.

Résumé :

Kamisaka — Détails des dépenses:

Kamisaka — Techniques utilisées:

Kamisaka — Statistiques: